Accessoires tricotés Pandas & tricot 19 décembre 2016 Quand ce bonnet est sorti, il a tout de suite eu un succès fou ! Il me le fallait aussi, parce qu’il est trop mignon, parce que Céleste avait besoin d’un bonnet, parce qu’il me fallait un projet facile pour tester la méthode continentale. Ma fiche Ravelry me dit que je l’ai terminé en octobre et depuis, il a déjà vu du pays : le parc presque tous les jours, le fond du sac à dos, la Bretagne, à Sète où nous avons pris ces photos… autant dire qu’il a été testé et approuvé. Je l’ai fini quand Céleste a commencé à reconnaître les pandas dans les livres et dans ses jouets. Elle a toujours des compliments quand elle le porte. Comme elle adore qu’on s’intéresse à elle, le petit bonnet pandas est un atout de plus pour elle ! Tricoté en acrylique Zeeman, mon super basique pour tous les petits accessoires 4×4, il est bien chaud, passe à la machine et a l’air increvable, pour l’instant. Je n’ai pas fait de folie quant aux couleurs. Le rose est assez vif et souligne bien le travail de pixellisation du haut. Je n’ai pas fait de pompon, d’abord parce que je n’avais pas le temps, puis par flemme et finalement parce que je l’aime bien comme ça. De toute façon cette gosse a assez de cheveux pour que je lui épargne la touffe de poils sur le dessus de la tête ! J’ai commencé les échantillons sur ce bonnet juste après que Lise Tailor ait sorti ses vidéos sur la méthode continentale et il fallait que j’y arrive. Oui, LES échantillons parce que réapprendre à tricoter a eu beaucoup d’impact sur ma tension. Les premiers que j’ai faits étaient immenses ! Au bout du troisième, j’avais trouvé ma tension, un peu plus lâche qu’en tricotant avec le fil dans la main droite et c’est pas plus mal, vu que j’étais une tricoteuse « serré ». J’ai un peu réadapté les aiguilles et le nombre de motifs pour coller à la (grosse) tête de Céleste et c’était parti ! Note à toi qui voudrais tenter la méthode continentale : le jacquard N’EST PAS IDEAL pour commencer ! Surtout que j’avais décidé de croiser les fils à chaque rang pour avoir un verso propre et sans pandouillette. Le résultat est là : un beau bonnet, avec un arrière régulier et des motifs qui ne tirent pas mais, c’était long ! Pour en finir avec la méthode continentale, sache qu’elle est à présent adoptée et que c’est un vrai plaisir de tricoter plus efficacement, plus vite et avec une meilleure tension. Jongler avec trois fils à chaque maille, c’est quand même du sport. Je voulais m’en faire un aussi mais je t’avoue que maintenant, j’hésite. Et puis à bientôt-33-ans-mais-pas-encore, les pandas sur la tête, ça craint, non ? Bon là tu te dis, rapport au titre, ça y est, elle va nous embarquer dans un débat sur pour ou contre les accessoires kawai à 33 ans. Non, raté. Je voulais juste te raconter une anecdote récente et d’actualité. D’un commun accord, il y a quelques années, nous avons décidé Chéri-Mari et moi-même de ne plus faire Noël. Quand Céleste est née, nous avons décidé de ne pas lui faire croire au Père Noël. Cette année, évidemment, elle voit bien qu’il se passe quelque chose chez les autres : les sapins, les papas Noël, les lumières… En rentrant, la semaine dernière, elle me montre un sapin chez un voisin et je décide de lui expliquer : Moi « Tu sais chez Papa et Maman, il n’y a pas de sapin, ni de Père Noël, parce qu’on trouve qu’il y a assez de choses dans la Nature pour s’émerveiller sans en inventer. » Céleste, deux ans et un mois : « Comme les pandas ? » C’est pas une fille qui déchire ça ?! C’était l’instant #ProudMama, à vous les studios. Je te souhaite donc un très joyeux panda et te dis à bientôt. BonnetEnfantJacquardPandasTricot Previous post Le premier jour du reste de ma vie Next post Swap de fin d’année 2016 Chaussettes By the river, les dernières de la saisonBonnet point de rizBirds of a feather : le maxi châle précieux Leave a reply Annuler la réponse Δ Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.